Joyland: quand le désir bouscule les frontières du genre et du devoir
- Nadia Chakhari
- 2 mai
- 1 min de lecture

Dans une société où tout semble écrit d’avance, Joyland nous entraîne là où le regard dérange, où le coeur vacille, où les rôles imposés deviennent étouffants. À travers l’histoire de Haider, embauché dans un cabaret dirigé par une danseuse trans, le film explore les tensions entre tradition et liberté, masculinité et vulnérabilité, famille et identité.
Mais Joyland ne se contente pas de dénoncer. Il nous touche par sa pudeur, sa poésie visuelle, et sa manière d’écouter les silences autant que les cris retenus. Dans ma chronique complète, je reviens sur la mise en scène sensible de Saim Sadiq, sur la beauté discrète des non-dits, et sur ce que ce film pakistanais dit - sans crier - sur nous tous.
Sur ma chronique Patreonvous allez découvrir bien plus qu’un simple résumé de film. Je propose une lecture sensible et profonde, où chaque image, chaque silence, chaque regard a son importance. J’analyse ce que le film raconte en creux, au-delà des dialogues.
Je partage aussi mes impressions personnelles, ce que le film m’a fait ressentir, comment il résonne avec mes expériences ou mes réflexions. C’est une chronique à la fois cinéphile et humaine, pensée pour celles et ceux qui aiment le cinéma comme un miroir de l’âme et du monde.
👉 Pour découvrir la suite de cette chronique, mon analyse complèt film, rendez-vous sur ma page Patreon !
🎬 En tant que membre, vous avez accès à mes critiques approfondies, des contenus exclusifs et des échanges en avant-première autour du cinéma.
Comments