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Livre ouvert

À propos

Bienvenue sur La Plume Indienne, un espace de partage, de réflexion et de création, où les mots tracent des ponts entre les cultures, les expériences de vie et les quêtes intérieures.

Je suis autrice, passionnée de littérature, de cinéma indien et de spiritualité. Depuis toujours, l’écriture est pour moi une manière de comprendre le monde, de le questionner, mais aussi de le réenchanter. Ce blog est né de l’envie de mêler mes passions, mes combats personnels et mes voyages intimes à travers l’Inde, les douleurs chroniques, la maternité, les renaissances.

Sur La Plume Indienne, vous trouverez :

  • des chroniques de films indiens, où le cinéma devient un miroir de la société et un terrain de réflexion philosophique,

  • des extraits de mes livres (romans, témoignages, poésie),

  • des réflexions sur la maladie chronique et la résilience,

  • des textes spirituels et introspectifs sur les flammes jumelles, le karma, ou encore l’amour de l’Inde,

  • des carnets de voyage, pour vous faire découvrir l’Inde au-delà des clichés, avec mes yeux et mon cœur,

  • et parfois, des éclats de colère, de lumière ou de poésie… parce que vivre avec intensité, c’est aussi ça, La Plume Indienne.

Ce blog me ressemble : imparfait, multiple, sincère.

J’y dépose mes vérités, mes découvertes, mes douleurs et mes émerveillements. Que vous soyez ici pour lire une critique de film, trouver du courage face à la maladie, ou simplement vous laisser toucher par une phrase, j’espère que vous repartirez avec quelque chose qui résonne.

Merci d’être là.

Joyland: quand le désir bouscule les frontières du genre et du devoir



Dans une société où tout semble écrit d’avance, Joyland nous entraîne là où le regard dérange, où le coeur vacille, où les rôles imposés deviennent étouffants. À travers l’histoire de Haider, embauché dans un cabaret dirigé par une danseuse trans, le film explore les tensions entre tradition et liberté, masculinité et vulnérabilité, famille et identité.

Mais Joyland ne se contente pas de dénoncer. Il nous touche par sa pudeur, sa poésie visuelle, et sa manière d’écouter les silences autant que les cris retenus. Dans ma chronique complète, je reviens sur la mise en scène sensible de Saim Sadiq, sur la beauté discrète des non-dits, et sur ce que ce film pakistanais dit - sans crier - sur nous tous.


Sur ma chronique Patreonvous allez découvrir bien plus qu’un simple résumé de film. Je propose une lecture sensible et profonde, où chaque image, chaque silence, chaque regard a son importance. J’analyse ce que le film raconte en creux, au-delà des dialogues.

Je partage aussi mes impressions personnelles, ce que le film m’a fait ressentir, comment il résonne avec mes expériences ou mes réflexions. C’est une chronique à la fois cinéphile et humaine, pensée pour celles et ceux qui aiment le cinéma comme un miroir de l’âme et du monde.


👉 Pour découvrir la suite de cette chronique, mon analyse complèt film, rendez-vous sur ma page Patreon !

🎬 En tant que membre, vous avez accès à mes critiques approfondies, des contenus exclusifs et des échanges en avant-première autour du cinéma.


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